Mécénat

Comment soutenir le musée ?

Le musée de la Nacre et de la Tabletterie a besoin de votre soutien pour permettre la réalisation de ses nombreux projets : expositions, acquisitions, restaurationsaménagements muséographiques
Vous pouvez contribuer au développement du musée et à l’enrichissement de ses collections par des dons et des legs, soit en œuvres d’art, soit en argent, ainsi que par des donations simples et des donations avec réserve d’usufruitenfin, par le moyen de la dation.
Quelle que soit la nature du don, le donateur bénéficie d’avantages fiscaux très substantiels (déductibilité à 60%, exonération de droits de mutation).
Devenir mécène du musée de la Nacre et de la Tabletteriec’est participer au rayonnement et au développement d’un musée en constante mutation :
– un lieu de dialogue permanent entre les civilisations, les pratiques artistiques, les époques et les publics les plus variés.
– une mission sociale et éducative rendue chaque jour plus exigeante par l’augmentation et la diversification de ses publics.
– une politique pédagogique innovante, pour intégrer l’éducation artistique et culturelle aux enseignements scolaires.

Saint-Étienne est une ville de France située dans le département de la Loire, en région Rhône-Alpes.

La grande quantité de culture qui est chérie dans cet endroit se reflète dans le nombre de musées que nous pouvons visiter à travers ses rues historiques. Parmi tous ces musées, vous pouvez citer, par exemple, le Museum of Modern Art, une vaste enceinte qui constitue sans aucun doute l’une des meilleures collections publiques d’art moderne et contemporain du pays. Sa collection regroupe les œuvres de grands artistes du XXe siècle, tels que Soulage ou Dubuffet. Ses plus de 4 000 m2 de surface couvrent environ 15 000 œuvres, qui sont visitées par des milliers de touristes chaque année.

Une autre option de cette ville, en ce qui concerne les musées, est le musée d’art et d’industrie. Situé dans un bel immeuble de style Second Empire récemment restauré, il propose trois collections principales: les garnitures, les cycles et les branches.

Le musée de la mine tentera de proposer une visite de l’univers des anciennes mines. Situé dans l’un d’eux, comment pourrait-il en être autrement, cette ancienne source de charbon a donné 3 000 tonnes par jour. Aujourd’hui, c’est un musée rempli de galeries qui recrée parfaitement la vie sous la surface de la terre.

Les amateurs de transport urbain peuvent profiter d’un voyage particulier à travers l’histoire de ces éléments. Un circuit où l’on peut voir de vieux tramways, trolleybus ou bus. Tout cela est exposé au Musée du transport urbain de Saint-Étienne.

De plus, nous ne pouvons pas quitter cet endroit sans visiter le magnifique musée du Vieux Saint-Étienne. Une exposition organisée dans le spectaculaire et impressionnant palais privé du 17ème siècle. Ici, nous pouvons découvrir les origines et les différentes étapes de cette belle ville historique.

Ces musées ne sont qu’un avant-goût de ce que Saint-Étienne va nous montrer; Et cette ville a une offre culturelle spectaculaire qui nous occupera presque toute la journée.

Boutique

La boutique du musée de la nacre met en valeur un très grand nombre d’articles dont une majorité est mise en vente uniquement sur place. Ces pièces sont issues majoritairement de l’artisanat local. Un grand nombre de bijoux en nacre sont fabriqués au sein même du musée et vous les reconnaîtrez car ils sont alors estampillés « fabriqués au musée ».

La boutique se situe dans l’enceinte même du musée et vous serez émerveillés de voir la qualité des pièces exposéesNous avons pour souci de faire que chaque article soit le reflet d’une histoire et d’un savoir faire qui font de chacun d’eux un objet unique.

La boutique est ouverte tous les jours sauf les mardis, pendant les vacances de Noël (excepté le lundi 25 décembre et le 1er janvier), de 14h30 à 18h30. Fermeture annuelle du 8 au 14 janvier 2018.

Le 13 décembre s’ouvre l’exposition Potelle, l’ascension d’une famille de boutonniers.
De cette « inspiration Potelle », une collection entière de bijoux et d’objets est née.
Fabriqués à la main
Le Musée de la Nacre et de la Tabletterie est l’un des rares musées en France ayant une activité de production. Pour la première fois, ses ateliers ont conçu une collection d’objets et de bijoux à partir de matières naturelles. Dans le respect des gestes d’autrefois, les objets de la collection « Inspiration Potelle » forment un ensemble contemporain unique en lien avec les productions des célèbres boutonniers.
Un cadeau original
Dessinés par Julie Riou et conçus par les artisans du musée, les objets et bijoux ont été travaillés à la main, avec le savoir-faire traditionnel des tabletiers. Elégants et variés, ces objets et bijoux constituent une idée originale de cadeau, issu de l’artisanat local.

La belle ville de Rouen, capitale historique de la Normandie et source d’inspiration pour de nombreux écrivains et artistes, offre une grande offre culturelle pour les touristes, en plus des attractions typiques de sa belle architecture. Parmi toutes ces options, nous pouvons trouver un très attrayant, le Musée des Beaux-Arts de Rouen, une grande galerie d’art avec une infinité d’œuvres d’art entre le 15ème et le 20ème siècle.

Ce musée serait créé par décret de Chaptal en septembre 1801. Ainsi, le groso de sa collection serait favorisé par la Révolution française, notamment par la fermeture de nombreux temples. L’exposition déménagerait dans le bâtiment qu’elle occupe aujourd’hui à partir de février 1880.

Rénovée en 1992, la collection que nous pouvons trouver dans ses salles est une critique complète des artistes européens les plus importants de tous les temps. Mise en valeur de peintures françaises du XVIIe au XIXe siècles par des auteurs tels que Poussin, Jacques Stella, Deshays, Fragonard, Ingres ou Géricault. L’impressionnisme revêt une grande importance avec des œuvres telles que Dans un café de Caillebotte, Couverture de la cathédrale de Rouen, journée grise, Monet ou le jardin des Tuileries, effet de neige de Pizarro. On peut également citer divers auteurs cubistes tels que Raymond Duchamp-Villon, Jacques Villon et Marcel Duchamp.

Au total, nous trouvons 60 salles dans lesquelles se trouve l’une des plus importantes collections publiques de toute la France. Un grand musée qui compte plus de 300 000 visiteurs par an.

Dans un autre ordre, nous trouverons également des curiosités telles que la collection d’icônes russes du XVIe au XIXe siècle ou des peintures du XXe siècle, avec des auteurs tels que Raoul Dufy ou Marchel Duchamps.

Collections

Les collections du Musée de la Nacre et de la Tabletterie sont issues de la réunion de plusieurs groupes : la mairie et la Maison des Jeunes et de la Culture de Mérul’Association des « Amis du musée du travail de la Nacre », l’Ecomusée des Pays de l’Oise et le District des Sablons (aujourd’hui Communauté de Communes des Sablons).

La mairie et la MJC de Méru étaient détentrices de plusieurs objets inventoriés par l’association AEPTES en 1994 : un échantillonnage de produits fabriqués dans la région, un atelier complet de dominotiers en fonctionnement (ancien atelier Tartare), une collection de mobilier réalisée par Mr Troisoeufs.

L’association des « Amis du musée du travail de la Nacre » était en possession d’ateliers de boutonniers et tabletiers complets (machines, outillagemobilier et poulies) et d’une très belle collection d’objets de tabletterie et de boutonnerie.
Le District des Sablons se porta acquéreur de certains de ces objets (éventailsporte-plumejumellesboucles de ceinture…).

L’Ecomusée des Pays de l’Oise possédait également quelques objets de collection notamment des machines et du mobilier de boutonnerie, ainsi que des objets de tabletterie qui pouvaient dans un premier temps être réunis avec ceux du District des Sablons et constituer un ensemble cohérent.
Les pièces rassemblées pouvaient donc illustrer les différents espaces du Musée.
Depuis, le fonds ne cesse de s’enrichir de dons importants et d’acquisitions régulières et l’ensemble des collections offre une excellente représentation de la diversité et des spécificités de l’artisanat.
Pour découvrir les collections, vous pouvez accéder à la base Joconde, base de données du Ministère de la Culture, en remplissant le champ vide par « Musée de la Nacre et de la Tabletterie« .

Le Musée de La Nacre et de La Tabletterie raconte l’histoire et le savoir-faire des tabletiers de la région de Méru, acquis et transmis au fil des siècles. Afin que cette virtuosité ne se perde pas, qu’au contraire elle vive et se propage, le Musée maintient en son sein, depuis sa création, des ateliers de production et de restauration spécialisés dans la tabletterie.Chaque pièce est donc unique, le travail entièrement réalisé à la main par nos artisans dans le respect de l’authenticité des gestes de leurs illustres anciens.D’abord plébiscités par de grandes maisons de mode parisiennes, les ateliers connaissent également un vif succès auprès d’autres musées ayant des pièces, pour certaines inestimables, requérant l’avis ou l’intervention d’experts dans le travail de la nacre, des bois précieux, ou de l’os.Les ateliers du Musée connaissent régulièrement l’honneur de se voir attribuer des bourses et subventions pour la formation d’élèves apprentis tabletiers comme dernièrement par la Fondation du Patrimoine.Ce service de conseil et de restauration s’adresse aussi aux particuliers désireux d’être orientés dans leur volonté de réparer, embellir ou faire fabriquer une pièce toute particulière.Les visiteurs peuvent accéder librement à la boutique du Musée dans laquelle ils trouveront de nombreux articles de tabletterie : dominos, boutons, porte-couteaux, marque-pages, coupe-papiers… Tous fabriqués sur place.

Pour toutes demandes, vous pouvez prendre contact avec l’atelier. Tél. : 03 44 22 61 74

 

Historique du musée

La ville de Méru, située à 50 km au Nord de Paris à la frontière de l’Ile de France, a longtemps été le berceau d’une grande activité tabletière.
Dès le 17e siècle, les paysans des environs exercent la tabletterie à domicile lors des mois d’hiver, période de morte saison agricole.
Ils travaillent des matières naturelles telles que la nacre, l’os, l’ivoire, l’écaille et l’ébène.
Ils fabriquent alors des objets luxueux comme des éventails, des carnets de bal ou plus utilitaires comme des boutons, des dominos…
Au 19e siècle, la tabletterie connaît un véritable essor. Au 20e siècle, elle s’industrialise et le Pays de Thelle devient le plus grand centre européen de fabrication de boutons de nacre avec plus de 10 000 personnes exerçant ce métier dans les années 1910.
La tabletterie était devenue l’activité économique prépondérante de la région. Sa production fournissait le marché international, ce qui valut à Méru le surnom de « Capitale mondiale de la nacre ».

La création du Musée de la Nacre et de la Tabletterie
Dans les années 1970, un petit groupe de passionnés d’histoire locale, conscient de la disparition à venir de la tabletterie commence à évoquer l’idée d’un musée.
Ils sont vite rejoints par différentes associations à vocation culturelle. Ensemble, ils sauvent un grand nombre de machines et objets issus de cette industrie traditionnelle.
Ils réalisent des entretiens, collectent des témoignages et photographies permettant ainsi d’entretenir une mémoire chère à l’identité régionale.
Le projet de musée se concrétise en 1992 avec la création du District des Sablons (aujourd’hui Communauté de Communes des Sablons).
Avec le soutien de la région, de l’Etat et du département, le Musée de la Nacre et de la Tabletterie voit le jour, après trois ans de chantier en 1999.

Un Musée dans une usine XIXe siècle
Le Musée de la Nacre et de la Tabletterie est situé dans un immense bâtiment, exemple typique des grandes installations nées de la Révolution Industrielle.
Appartenant d’abord à M. Fessart, marchand de bois, nacre et teinture en gros qui en initia la construction en 1859 et l’acheva en 1887, il devint propriété de M. Dégremont en 1892.
Après 1920, sous l’appellation « Industrie méruvienne », l’usine changea plusieurs fois de main.
En 1965, s’y installèrent les établissements Desmarest qui ne s’en servirent que comme entrepôt.
Le bâtiment ferma ses portes en 1972 et ne fut rouvert qu’en 1999 en tant que Musée de la Nacre et de la Tabletterie.
Entre temps, il avait été inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
L’usine Dégremont  avait une capacité d’accueillir une centaine d’ouvriers sur ses 1200 m². Le fonctionnement des ateliers se faisait grâce à une machine à vapeur située au centre du bâtiment principal.

L’une des originalités du Musée de la Nacre et de la Tabletterie est la reconstitution d’une partie des ateliers avec des machines d’époque.
Dans son atelier de dominos traditionnels en os et ébène, le musée a réaménagé le lieu de travail de M. Tartare, découpeur d’os et perceur de dominos de 1940 à 1970.
Tous les gestes nécessaires à l’élaboration d’un jeu de dominos y sont montrés et commentés lors de visites guidées.
De même, dans son atelier reconstitué et actionné par une véritable machine à vapeur, les guides conférenciers montrent aux visiteurs les étapes traditionnelles de fabrication d’un bouton de nacre.
Des dispositifs multimédias ainsi qu’un montage audiovisuel complètent la visite.
De superbes éventails et multiples objets de tabletterie sont également offerts à la vue des visiteurs.
Enfin, dans un souci de conservation et de transmission d’un savoir-faire acquis au fil des siècles, le Musée maintient une production d’objets variés mis en vente dans sa boutique en accès libre et propose un service de restauration d’objets en nacre.

L’extension du Musée de la Nacre et de la Tabletterie
La réhabilitation et l’aménagement d’une ancienne aile de l’usine Dégremont ont permis, en 2010, la création de nouveaux espaces.
Une nouvelle surface de 200 m² répartie en volumes modulables permet d’accueillir des expositions temporaires présentant des collections inédites ou des œuvres à caractère artistique.
D’autre part, deux salles sont réservées aux groupes scolaires ou périscolaires. L’animation d’ateliers éducatifs et ludiques y est mise en place afin d’agrémenter leur visite de manière instructive.
Une salle de séminaire entièrement équipée accueille également les groupes dans un cadre agréable.
Enfin, le salon de thé, donnant sur le jardin paysagé situé derrière le musée, offre un espace de détente confortable et gourmand.